Le métabolisme (biotransformation) peut être une des causes de la spécificité. Cependant, les exemples de toxicité d’organe sans biotransformation in situ sont très nombreux.
Le métabolisme (biotransformation) peut être une des causes de la spécificité. Cependant, les exemples de toxicité d’organe sans biotransformation in situ sont très nombreux.
faux, le foie est le principal organe capable de métaboliser les xénobiotiques à cause da sa richesse en enzymes spécialisées.
faux, le foie est le principal organe capable de métaboliser les xénobiotiques à cause da sa richesse en enzymes spécialisées.
Des organes peuvent contenir les enzymes d’activation de certains xénobiotiques mais l’action nocive ne se fait ressentir qu’au niveau d’un autre compartiment biologique.
Le métabolisme permet la transformation des xénobiotiques par des processus biologie avant d’exercer leur effet biologique
Des organes peuvent contenir les enzymes d’activation de certains xénobiotiques mais l’action nocive ne se fait ressentir qu’au niveau d’un autre compartiment biologique.
La biotransformation du xénobiotique ne se réalise pas nécessairement à niveau de l’organe cible ; c’est plutôt dans les organes où les enzymes de la fraction microsomiale sont plus présents, comme dans le foie et, ensuite, dans le poumon et dans le rein, que le métabolisme se réalise.
Non car il existe des toxicités d’organe sans métabolisme du xénobiotique.
Non car il existe des effets toxiques sur les organes sans que le xénobiotique soit nécessairement métabolisé.
le métabolisme peut être une des causes de la spécificité.
chaque organe à une réponse spécifique suite à une exposition à une toxine selon le mode d’absorption.
Le métabolisme est une propriété spécifique pour chaque organes
Non les xénobiotiques ne nécessitent pas forcément d’être activés.
il existe des effets toxiques sur les organes sans que le xénobiotique soit nécessairement métabolisé.
Non, la manifestation de la toxicité n’est pas forcément liée au métabolisme car certains xénobiotoques peuvent être absorbés sous forme inactive. Mais, ce n’est qu’après le passage par le foie que des formes toxiques seront produites. Le plus souvent, c’est la dose qui provoque l’activation des formes toxiques par saturation des enzymes de détoxification.
Non, le foie est le principal organe impliqué dans la biotransformation des xénobiotiques bien que la peau, le rein, les poumons et la muqueuse intestinale puissent métaboliser. De plus, les réactions de biotransformation ont pour effet de diminuer, voire annuler complétement la toxicité d’un xénobiotique.
oui,les bio-transformations des xénobiotiques jouent souvent un role clé dans la transformation du type et de la gravité des effets obtenus
Non car certains xénobiotoques peuvent être administrées sous une forme inactive. toutefois et une fois leur arrivée au niveau du foie que leur toxicité se manifeste en fonction des doses et de la réponse des enzymes spécialisés présents dans le foie.....
Voire exemple du foie qui est capable de métaboliser les xénobiotiques à cause de sa richesse en enzymes spécialisées,dont les effets nocifs se font ressentir au niveau d’autre organes.D’où réponse Non
Le métabolisme des xénobiotiques :le foie est l’organe principal qui permet d’effectuer la biotransformation des xénobiotiques
Le foie est le principal site de la biotransformation. Tous les xénobiotiques absorbés au niveau intestinal sont transportés vers le foie par un vaisseau sanguin unique, la veine porte. Si une substance étrangère est absorbée en petites quantités, elle peut être complètement métabolisée par le foie avant d’atteindre la circulation générale et les autres organes (effet de premier passage). Les xénobiotiques inhalés parviennent au foie par la circulation générale. Seule une fraction de la dose est alors métabolisée avant d’atteindre les autres organes.
Les cellules hépatiques contiennent diverses enzymes qui oxydent les xénobiotiques. Cette oxydation active généralement le composé, qui devient plus réactif que la molécule mère. Dans la plupart des cas, le métabolite oxydé est métabolisé plus complètement par d’autres enzymes lors d’une seconde phase. Ces enzymes conjuguent le métabolite avec une substance endogène, de sorte que la molécule augmente de volume et se polarise, ce qui facilite son élimination.
Les enzymes métabolisant les xénobiotiques sont également présentes dans d’autres organes tels que les poumons et les reins où elles peuvent jouer des rôles spécifiques et qualitativement importants dans le métabolisme de certains xénobiotiques . Les métabolites formés dans un organe peuvent être ensuite métabolisés à nouveau dans un second organe. Les bactéries intestinales peuvent aussi participer à la biotransformation.
Les métabolites des xénobiotiques peuvent être excrétés par les reins ou par la bile. Ils peuvent aussi être exhalés par les poumons, ou se lier à des molécules endogènes dans l’organisme.
Lorsqu’un xénobiotique pénètre dans une cellule, il est rapidement pris en charge par des transporteurs membranaires, des pompes d’efflux qui vont l’exporter directement à l’extérieur de la cellule, ou par les enzymes du métabolisme des xénobiotiques (EMX)
Possédant un rôle clé dans le métabolisme et l’élimination de composés potentiellement toxiques, toute altération de leur régulation, expression et/ou de leur activité peut engendrer des conséquences néfastes à l’échelle de l’organisme.
non, parce que il existe des effets toxiques sur les organes sans métabolisme du xénobiotique, exemple du foie qui est capable de métaboliser les xénobiotiques à cause de sa richesse en enzymes spécialisées.
non, parce que il existe des effets toxiques sur les organes sans métabolisme du xénobiotique, exemple du foie qui est capable de métaboliser les xénobiotiques à cause de sa richesse en enzymes spécialisées.
Il y a une activité métabolique
Non, parce que en d’organes, le foie est le principal organe capable de métaboliser les xénobiotiques.