Les Champlanais se protègent au quotidien des nuisances auxquelles ils sont exposés de manières diverses :
En se réconfortant et en relativisant sur un mode « Pas pire ici qu’ailleurs » ; d’autres s’adaptent en trouvant des moyens de réduire les nuisances du bruit (ferme les fenêtres pour réduire la perception du bruit des avions par exemple) ; d’autres encore ne s’accommodent plus des conditions de vie, d’ailleurs certains n’envisagent pas de futur dans le village. Le dernier témoignage démontre un caractère positif qui souhaite participer activement à l’enquête, probablement comme un moyen de favoriser la recherche/proposition d’une « solution ».