Les divergences portent sur :
_Perception vs. données : Les avions (bruit majeur) sont mieux acceptés que le trafic routier (polluant principal).
_Effet cocktail : Craintes des habitants vs. incapacité scientifique à le quantifier.
_Nuisances historiques (avions) vs. nouveaux projets (station d’épuration), perçus comme une accumulation inacceptable. Les élus et agences privilégient les données, tandis que l’association insiste sur le cumul subjectif.