OUI ,effectivement plusieurs questions sont restées sans réponses et les études en elles mêmes font générer plusieurs questionnements ;
l’exemple de l’étude d’Airparif
L’étude d’Airparif sur la qualité de l’air à Champlan utilise divers outils, notamment la modélisation des émissions et la cartographie des zones à risque. Cependant, des incertitudes significatives persistent, surtout dans la modélisation des particules, en raison de la complexité des sources locales et distantes, des transformations chimiques, et des phénomènes de remise en suspension. La validation de la modélisation pour les particules PM10 est limitée par l’absence de techniques de mesure simples. Les résultats du modèle montrent des écarts, sous-estimant le dioxyde d’azote et surestimant les particules PM10 à certaines heures. Ces incertitudes soulignent l’importance d’améliorer la prise en compte des données d’entrée dans le processus de modélisation, mettant en évidence la complexité du contexte atmosphérique où la qualité de l’air dépend davantage des variations météorologiques que des émissions locales.