A Champlan, la validation du signal fut « immédiate » car tout un chacun pouvait constater le cumul d’équipements, et l’étude d’Airparif de 2003 objectivait déjà une pollution de l’air sur la commune.
Les populations ont été impliquées dans les études. Le comité de défense a joué un rôle important dans la réalisation des études pour faire entendre leurs voix ou arguments.
Le cas de Champlan montre un exemple, plus constructif où l’information, la concertation et la participation des riverains dans les mesures ont été largement exploitées, les réunions publiques, la lettre d’information, Le site Internet de la commune et certains habitants ont participé à des mesures d’expositions individuelles