Les études écologiques de type cas-témoins utilisent souvent des proxys d’exposition, comme le fait d’être mariée à un fumeur, au lieu d’une mesure réelle de l’exposition individuelle. Cela peut créer des erreurs, comme dans l’étude Hirayama, où le statut du mari est utilisé comme indicateur.
Ce type de design ne respecte pas toujours les règles de l’épidémiologie analytique, car il n’y a pas de contrôle précis des autres facteurs (mode de vie, environnement domestique, etc.). Cela rend plus difficile d’établir un lien clair entre l’exposition et la maladie.
Mais ces études sont utiles pour lancer une alerte, surtout quand on manque de moyens pour faire mieux.