la norme de 52 μg / m2 : Elle est fausse, basée sur une très vieille étude (sur les cas de perforations nasales) qui n’a même pas de relation avec le cancer du poumon.
Elle ne cadre pas avec les autres études sur le cancer du poumon (exemple : étude de ENVIRON), démontrant des risques plus élevés face à un niveau d’exposition plus faible.
Le Odds Ratio : Le ‘odds ratio’ du rapport original non publié est de 20.2 pour des doses d’exposition élevées, soit supérieur à 5,8 μg / m2, mais de seulement 6,9 dans l’étude publiée.
Ces résultats émettent des doutes quant à la véracité des preuves, supposant la manipulation des données pour brouiller les pistes qui rendraient la réglementation plus sévère.