L’idée était que le danger de l’amiante provenait uniquement de l’inhalation de ses fibres, et que toutes les variété d’amiante n’avaient pas la même dangerosité, ceci montre une sous-estimation de la dangerosité de l’amiante, même à faibles expositions. Le raisonnement reposait sur l’idée qu’en dessous d’un certain seuil, l’exposition était sans danger.
L’argument avancé est que « Les effets des doses faibles ont été sous-estimés » Pourtant, l’amiante est bien reconnue pour son effet cancérigène, même à faibles doses.
Un autre argument est l’utilisation raisonnée de l’amiante, alors que cette dernière est utilisée dans divers secteurs, métiers et produits.
Enfin, selon le même rapport la présence de milliers de produits cancérigène dans notre quotidien, expliquerait la non interdiction de l’amiante a l’époque. La présence de nombreux produits toxiques ne justifie en aucun cas de négliger l’interdiction d’une substance dont les effets graves sont bien connus.