En 1977, un décret a été pris pour imposer un contrôle de l’atmosphère de travail afin de limiter l’exposition aux fibres d’amiante. Cependant, l’inaction fautive de l’État a conduit à une méconnaissance des risques. L’argument principal avancé était que les pouvoirs publics avaient fait le choix d’une "utilisation contrôlée" plutôt qu’une interdiction immédiate, retardant ainsi toute restriction significative