La gestion de l’amiante par un organisme paritaire s’avère difficile en raison des conflits d’intérêts entre employeur et employé, ainsi que de la diversité des secteurs d’activité impliquant l’amiante. Par exemple, les travailleurs dans les bâtiments exposés à de la poussière d’amiante subissent plus de dommages que ceux travaillant avec des produits contenant de l’amiante. La diversité des produits et des utilisateurs ne facilite pas non plus une bonne gestion par un organisme paritaire. En plus, l’amiante peut aussi être trouvé dans la nature et, par exemple au centre de la Nouvelle-Calédonie, le taux de mésothéliomes est 500 fois plus élevé que la normale.