Un organisme paritaire, constitué d’un nombre égal de représentants des employeurs et des salariés, ne peut pas gérer de manière efficace le risque amiante en raison des conflits d’intérêts économiques et sanitaires le fait que les usages et les acteurs soient diversifiés rend les décisions complexe comme par exemple le Canada qui refus toujours d’inscrire la chrysotile sur la liste des substances dangereuses pour protéger son industrie dont la production est destiné a l’exportation, en plus, l’exposition à l’amiante varie aussi selon les secteurs d’activité donc une gestion différenciée peut être nécessaire.