Les premiers chiffres mettent en évidence un risque de santé publique considérable lié à l’exposition à la trémolite. En 1994, la gestion du risque par le CPA semble avoir été insuffisante, car la population concernée par l’exposition était déjà importante. Malgré l’action de sensibilisation et de gestion, il reste un risque résiduel, illustré par le fait que, même en 2000, près de 1 100 personnes résidaient toujours dans des habitats à risque. Cela suggère que, malgré les premières initiatives, des efforts supplémentaires étaient nécessaires pour limiter l’exposition et protéger la population.