L’action publique n’a pas été immédiate car depuis 1997, les résultats de l’enquête épidémiologique étaient déjà publiés et confirmait le lien entre l’exposition à la trémolite et l’apparition des maladies (91% de cas de mésothéliomes attribuables à cette exposition et 50% de cas de cancer de poumons attribuables chez les femmes). En plus, le fait de partager des consignes écrites aux populations pour se protéger n’est pas le meilleur moyen de communication car exclus les analphabètes. Comme mesures pour améliorer la sécurité des populations, le badigeonnage des murs avec de la peinture aurait pu être une mesure immédiate pour fixer l’amiante, la communication orale (via les médias, les ONG, la radio etc.) aurait aussi pu être envisagé.