L’argument-type utilisé par les organisations d’industriels, cité dans le texte, est celui du "biais de diagnostic". Ils prétendent que l’excès de cas de cancer du cerveau observé chez les ouvriers exposés au chlorure de vinyle pourrait être dû à une meilleure surveillance médicale et un diagnostic plus précis dans l’industrie par rapport à la population générale, plutôt qu’à un réel effet toxique du produit.