Certains Champlanais envisagent de partir s’ils considèrent les nuisances comme nocives, tandis que d’autres s’adaptent en fermant les fenêtres lors des atterrissages, adoptant une attitude optimiste. Certains expriment des inquiétudes pour la santé, mais font confiance aux soins médicaux locaux. D’autres ont confiance dans leurs pratiques agricoles personnelles malgré la pollution. La gestion de l’environnement sonore est aussi une stratégie, avec une observation des différences générationnelles dans la réaction aux nuisances. Enfin, la participation active à des actions collectives, comme signer des pétitions, montre un engagement envers la mobilisation communautaire.