Les extraits 1,2 et 3 se rapportent à mon avis à une même attitude : ces habitants sont conscients des nuisances et pollution dont ils sont victimes mais ils relativisent en avançant des éléments de comparaison : « .....pas pire que Paris. On n’est pas la bête noire » ; « ......mais quand le médecin prescrit la même chose en Normandie,.........................docteur de Champlan. »
En d’autres termes de nombreux champlanais estiment qu’il y a autant ou pire de pollution ailleurs qu’à Champlan.
Les extraits 4 et 5 dénotent d’une certaine adaptation à la nuisance qu’est le bruit. Pour l’habitant de l’extrait 4, l’adaptation ou l’accomodation se traduit par l’action routinière de fermer les fenêtres au heures de mouvements des avions. En ce qui concerne l’habitant 5, l’exercice est plutôt cérébral où il entend tout sans rien écouter en fait au risque de devenir “dingue”. C’est le cas également à mon avis des anciens enseignants qui ne suspendent pas le cours au passage des avions.
Les nouveaux enseignants ressentent encore la gêne liée au bruit des avions.
L’extrait7 correspond à l’attitude des habitants conscients des dangers sanitaires qu’ils courent et s’engagent à se faire entendre et à faire changer les choses avec les moyens dont ils disposent.