Les points négatifs des protocoles des études sont :
la taille des échantillons jugée trop faible,
la durée des études perçue comme trop courte,
la période choisie pour les mesures de bruit et de pollution atmosphérique (ces études n’ont pas été faites aux périodes à forts trafics routier et aérien),
les moyennes utilisées pour l’étude du bruit qui ne permettent pas de rendre compte des éventuelles phénomènes de pics.
Les points positifs des protocoles des études sont :
l’implication de la population tout au long de la démarche,
l’exposition individuelle aux différentes nuisances,
l’élaboration d’une cartographie de bruit avec l’utilisation d’indicateurs d’exposition européens "Ln"/"Lden".