Comme points fort des protocoles utilisés, nous pouvons souligner l’implication des parties prenantes dans le processus d’évaluation et la gestion du risque, la quantification de l’exposition individuelle et l’utilisation de la cartographie qui a permis une vue générale de l’exposition de l’ensemble du territoire.
Les faiblesses concernent surtout les méthodes et techniques d’échantillonnage ainsi que la définition des seuils de certaines variables.