Les études ont permis notamment de déterminer les niveaux d’expositions individuelles (dans le cas des riverains proches des lignes THT et de l’exposition aux polluants atmosphériques), ou encore de réaliser des cartographie précises des différents niveaux de pollution.
- Les champlanais ont également relevé diverses faiblesses dans les protocoles des études. Par exemple les études ne prenaient pas en compte les différentes conditions qui pouvaient conduire à des niveaux bien supérieurs à ceux relevés : le départ en vacances pour le bruit et les fortes chaleurs pour la pollution atmosphérique.