Les protocoles comportent des points forts :
La participation des citoyens (Recrutement de participants habitant et travaillant en Ile de France) ;
L’exposition à l’échelle individuelle (Mesure des expositions individuelles aux dioxyde d’azote, benzène et formaldéhyde) ;
La cartographie qui est établie et qui montre des niveaux de pollution très hétérogènes y compris dans la commune même de Champlan.
L’influence des conditions météorologiques sur les niveaux de pollution.
Les points faibles :
La mesure des impacts sonores reste problématique de par la nature du bruit (continu ou par émergence), de l’existence ou non d’un niveau de fond et surtout de l’influence de la perception qui introduit une dimension subjective difficile à prendre en compte.