Les points forts des études : tout d’abord la présence d’études sociologiques qui a permis d’associer les habitants et de mieux comprendre le contexte sociale, le vécue des habitants. Une étude poussée avec beaucoup de points de prélèvements pour les pollutions atmosphériques, une complémentarité avec des relevés individuels et la prise en compte de l’air intérieur, et plusieurs outils de modélisations.
Lest points faibles des études : les échantillons ont été jugés trop faible, pas assez représentatifs et les périodes choisies ne permettant pas d’enregistrer les effets de pics spécifique à certaines périodes telles que pendant les départs en vacances estivales ou aux périodes de plus fortes chaleurs.