Quatre particularités ont retenues mon attention :
1. L’influence de l’implication des représentants du peuple dans la prise en compte des réclamations et dans toute la démarche d’évaluation du risque ;
2. Le degré de multi-exposition (bruit, CEM, pollution atmosphérique) ;
3. La très louable contribution des sciences sociales dans la tentative d’explication du bilan gain-nuisance.
4. L’organisation, par la population, de la chaîne de communication (information).