Les autres cas étudiés avaient une entrée sanitaire (suspicion d’agrégat de St Cyr, mésothéliome pour le CMMP). Pour Champlan, c’est juste une inquiétude environnementale qui a permis à ce village de servir de "laboratoire" pour le développement d’outils nouveaux et l’étude de l’effet cocktail. Ainsi, la cire n’a pas produit d’étude quantitative du risque sanitaire comme pour les 2 autres cas, mais a privilégié une approche qualitative sociologique.