Les études écologiques comparent la fréquence d’une maladie et l’exposition à un facteur de risque au niveau de populations entières. Elles ne regardent pas les individus spécifiques. Cela peut mener à des erreurs, car ce qui est vrai pour une population peut ne pas l’être pour chaque personne. Par exemple, une région avec une faible consommation de poisson peut montrer une corrélation avec des maladies cardiaques, mais cela ne signifie pas que chaque individu qui n’a pas mangé de poisson a un risque accru. Ces études peuvent donner des indications, mais elles ne sont pas aussi précises que d’autres méthodes pour établir des liens de cause à effet au niveau individuel.