Les études écologiques de type cas-témoins, axées sur l’exposition à un facteur de risque environnemental, s’écartent souvent des règles de l’épidémiologie analytique en raison de leur analyse au niveau agrégé de populations, ce qui peut entraîner un biais d’agrégation, des difficultés à établir des relations de causalité au niveau individuel, un risque accru de confusion, et une sensibilité à des facteurs tels que l’effet de la migration.