Les études écologiques de type cas témoins sont délicates car elles demandent notamment de reconstituer a posteriori la nature la teneur de l’exposition pour chacun des membres de l’échantillon. Elles ne permettent donc pas d’obtenir une relation dose-réponse bien précise.
Elles favorisent l’existence de biais, notamment dans le choix des témoins. Ce qui est ici critiqué à travers les "fausses déclarations" prétendues des épouses japonaises.