Non, la transmission d’une séquence génétique impactée par un genotoxique à sa propre déscendance n’est pas automatique. Par exemple, selon le moment de la grossesse auquel les patientes ont commencé à prendre le DES, le risque de présenter des cancers est différent, mais il ne s’agit pas de trasmission génétique de la mère à la fille, mais d’exposition in uterus.