Si on admet que la présomption de dangerosité est un principe qui vise la protection de la population qui pourrait être exposée à cette nouvelle molécule, on peut bien, en attendant d’élucider les mécanismes propres de toxicité de la nouvelle molécule, utiliser les données de son homologue structurale ayant une similitude d’activité biologique. Sur cette base on peut déconseiller l’utilisation de la nouvelle molécule et mener des travaux de recherche pour cette dernière.