Les arguments utilisés à l’époque pour ne pas restreindre les utilisations de l’amiante sont l’identification du mode de contamination (inhalation) des salariés. Ainsi, les autorités pensait qu’avec la mise en place des méthodes de prévention par la fixation de seuils d’expositions sensé être sans risque, cela écarterai tout danger pour les salariés. De même, des textes mis en place avaient pour but l’interdiction du flocage et la réglementation sur les mesures de protection individuelle et collective pour une manipulation sans émission de poussières, avec des travaux réalisés par voie humide ou dans des appareils capotes et mis en dépression et sans exposition des poumons aux poussières. En effet la connaissance du mode d’exposition d’une substance toxique conduit à la mise en place des méthodes de préventions pour tout utilisateur.