Un des premiers arguments est que les responsables pensaient que c’était un problème d’exposition lié à une valeur limite. Ils ont donc appliqué le principe de prévention (étiquetage, protection du salarié). Cependant, le produit fut reconnu cancérigène par la France (1976) et l’OMS (1977) : c’est donc bien le principe de précaution qu’il aurait fallu appliqué d’autant plus que les salariés n’étaient pas les seuls concernés.
D’autre part, l’argument du temps est utilisé pour expliquer le retard de la France, dans le domaine des connaissances : la révolution industrielle en GB étant plus précoce, elle a provoqué l’apparition de cancers dans ce pays bien avant la France.