Ce problème est difficile à résoudre car les pouvoirs publics ne peuvent simplement pas supprimer l’accès aux médicaments ! De plus, les molécules actives excrétés ne sont pas encore suffisamment bien traités dans la gestion des eaux usées. Enfin, facteur cumulatif : plus la médecine progresse, plus de nouvelles molécules apparaissent sur le marché, se rajoutant aux anciennes. Le dilemme est donc le suivant : faut-il limiter le nombre de principes actifs sur le marché au risque d’entrainer des répercussions sanitaires au nom des enjeux environnementaux ?