Pour couper la chaine de contamination ou d’exposition des populations, il faut prendre le problème à la base. Les différentes sources de production de ses substances toxiques(Hopitaux, labo, usines/sociétés), doivent prendre des dispositions en interne afin de traiter de manière convenable les déchets de façon à ce qu’ils ne soient pas nocifs aux êtres vivants et autres organismes.
Un constat amer se présente le plus souvent : Ces structures/entreprises ou multinationales pour des raisons économiques ne mettent pas les moyens nécessaires pour le traitement en amont de ses substances.
L’état qui doit protéger les populations, en assurant un contrôle rigoureux de ses installations lui aussi, pour des raisons politiques, économiques et souvent techniques n’assume pas, le plus souvent ses responsabilités. Etant dans certains cas, lui-même actionnaire, l’état ou les pouvoirs publics se trouve devant un grand dilemme quant à la prise de certaines décisions d’une importance capitale.
D’un côté, l’industrie doit tourner et générer des ressources, créer des emplois pour le développement du pays et de l’autre, elle dégage des substances polluantes nocives à l’écosystème.
D’autre part, nous savons que, plus la production est importante, plus les quantités de déchets deviennent difficile à gérer, il faut donc, assez de moyens.
Les marges de manœuvre des pouvoirs publics sont limitées pour faire appliquer le Concept « pollueur-payeur » et la population et son environnement subissent la loi du plus fort avec toutes les conséquences fâcheuses.