Le problème vis-à-vis du législateur se pose dans un contexte de difficulté, voir impossibilité de contrôler les citoyens autant qu’utilisateurs privés des médicaments. Il est tout à fait utile de sensibiliser le publique, avec des campagnes d’information et de prévention, mais ça ne peut pas être la réponse résolutive.
Comme on a déjà vu dans d’autres situations, il faut aussi considérer les enjeux de l’industrie pharmaceutique, l’application plus ou moins correcte des normes et les intérêts des prescripteurs des médicaments.
Idéalement, il faudrait pouvoir disposer de systèmes d’épuration totale des effluents, même si on génèrerait des déchets qui devraient, de toute façon, être gérés.