Les Conclusions tirées sont :
Le risque des installations est lie aux expériences d’accidents du passé (Seveso), aux installations anciennes plus polluantes et aux pathologies développées par les populations vivant à proximité des UIOM, quoique le lien entre l’exposition et ces pathologies ne puisse se faire avec certitude.
La perception du risque est liée plutôt a la fumée, nuisance visible qui s’identifie comme la source d’émissions des dioxines. Dans ce contexte, l’apparence des installations et leur intégration dans le contexte environnemental joue un role primordial.
Les réactions contre les UIOM sont plus intenses dans les régions industrielles souffrant déjà d’une exposition à des sources de pollution.
De l’autre coté une partie de la population accepte les UNIOM comme mal nécessaire. L’acceptation de la population est relative à la connaissance de leur fonctionnement et de leur contribution dans la production d’électricité et de chauffage. L’utilisation de technologies nouvelles et la mise en œuvre de normes plus sévères favorisent l’acceptation sociale.
Le manque de données scientifiques contribue à l’incrimination des UIOM. Seules les normes imposées peuvent sécuriser la population.