Pour répondre à cette question, il faudrait savoir ce qu’on entend par évaluation des dommages. Est-on dans de l’économie (estimation chiffrée), du sanitaire (impact sanitaire), de l’environnemental (pollution des milieux), l’ensemble des trois voir autre chose (répercutions sociale) ? Est-on dans de l’aigu ou du chronique ? Quid également des principes de l’environnement (prévention, précaution, pollueur-payeur) qui s’y ajoutent ? Dans tous les cas de figure, il est évident qu’une méthodologie d’étude limitée (pour rappel : non prise en compte des effets d’accumulation des divers polluants sur la sante et l’environnement à court et long terme) entraine des erreurs (des biais) dans une évaluation qui en est issue, avec des résultats pouvant être vue à la hausse ou à la baisse selon les critères retenus.