La réduction du consentement à payer (CAP) pour un rhume par rapport à toute autre maladie peut être expliqué par le fait que les individus perçoivent généralement les rhumes comme des affections moins graves et moins impactantes sur leur qualité de vie par rapport à d’autres maladies. Par conséquent, ils pourraient être moins enclins à payer autant pour éviter un épisode de rhume par rapport à une maladie plus sévère. D’Un autre côté, le fait d’avoir une maladie chronique ou une maladie respiratoire grave peut accroître le CAP car ces conditions de santé sont perçues comme plus sérieuses et ayant un impact plus important sur la vie quotidienne des individus. Par conséquent, ces individus pourraient être plus disposés à payer davantage pour éviter les épisodes de maladie liés à leurs affections chroniques ou graves. Ces variations dans le CAP en fonction du type de maladie reflètent les perceptions individuelles de la gravité et de l’impact des différentes affections sur leur bien-être, ce qui influence directement leur disposition à payer pour éviter ces maladies.