Ces premiers chiffres semblent catastrophiques. Le CPA étant plus ou moins un lobby des industriels de l’amiante, tout porte à croire que le seuil qui en émane tend à minimiser les dangers liés à l’amiante. Par conséquent, il est certainement trop haut et ne garantit pas un niveau de protection suffisant, tenant compte notamment de la variabilité individuelle. On peut donc penser à juste titre qu’en réalité les chiffres sont encore plus catastrophiques bien qu’ils paraissent déjà aberrants.