En dépit de l’incidence beaucoup plus forte de cas de cancers dans la province nord qu’en métropole et de la faible population y résidant, on peut effectivement comprendre que le signal d’alerte ait pu être donné que tardivement après les premiers cas déclarés.
Par ailleurs, les chiffres extrêmement élevés de l’estimation de l’exposition (800 à 7800 fois par rapports aux valeurs seuil proposés par le CPA) à la trémolite à l’intérieur de l’habitat recouvert de pö auraient du faire réagir les pouvoirs publics.