L’action publique a été trop lente dans la prise des décisions en faveur de la santé sachant l’ampleur de l’exposition et le nombre particulièrement élevé des cas de cancers, en particulier le mésothélium. Au lieu de simples instructions écrites, la communication avec la population concernée de tradition orale pouvait se faire sous une autre forme. Les mesures que l’on aurait préconisé pour améliorer la sécurité des populations sont l’interdiction de l’utilisation du pö en expliquant clairement à la population le danger qu’il représente, et la destruction rapide des habitats à risque et le relogement des habitants sur d’autres cites non exposés.