L’action publique est tardive si l’on considère que la première alerte a été lancée en 1991. Mais le véritable suivi des populations a démarré 10 ans après et l’action de démolition des habitats à risque 15 ans après.
A défaut d’un relogement de la population dans des zones hors risques, ou pourrait préconiser la fourniture gratuite de peinture à eau aux populations, le pavage des cours et des chambres et le bitumage des pistes ; tout cela pour réduire la poussière qui est source de contamination.