Les auteurs ont mis l’accent sur l’exposition précoce au DDT car ils cherchaient à comprendre si le contact avec ce pesticide pendant la jeunesse, notamment avant l’âge de 14 ans, avait un lien avec le risque ultérieur de cancer du sein. Ils ont spécifiquement examiné cette période de la vie car c’est pendant cette période que la glande mammaire pourrait être plus vulnérable aux effets du DDT. En se concentrant sur l’exposition précoce, les chercheurs ont cherché à déterminer si cette phase critique de développement pouvait influencer le risque de cancer du sein plus tard dans la vie.