Les auteurs auraient insisté sur l’exposition au DDT par rapport au risque de cancer du sein à cause des études qui montraient que le DDT et ses métabolites auraient des conséquences sur le développement, et consolidées par le Dr Mary Wolf qui publiait en 1993 qu’il existe une forte corrélation entre les concentrations des métabolites de DDT dans le sang et le risque de développer un cancer du sein.