Si l’étude de Cohn est bien celle repérable sur le graphique par le « N. California 1963 » (je n’ai pas pu accéder à l’article), on note que les concentrations de DDT observées sont en moyenne 7 fois supérieures comparativement aux autres études non réalisées spécifiquement chez des femmes jeunes. L’argument biologique avancé est que certains organes présentent une vulnérabilité spécifique lors de leur phase de développement.