La principale différence de l’étude de Cohn et al a été de doser directement le composé actif qu’est le p, p’-DDE près de la période d’exposition afin d’obtenir une meilleure caractérisation de cette exposition. Les arguments biologiques qui constituent sa force sont que le p, p’-DDE est le plus persistent des métabolites du DDT du fait de sa lipophilicité supérieure. Ainsi, il a une faible capacité à se lier aux récepteurs d’œstrogènes mais inhibe les la liaison d’androgènes à leurs récepteurs.