Cohn à la différence des études précédemment publiées s’adresse à une problématique écartée jusqu’alors, à savoir la prépondérance des facteurs d’exposition pendant les périodes de plus grande vulnérabilité de la jeune femme durant son développement. (alors que les autres études s’attachaient à mettre en évidence le lien entre DDT et Cancer du sein).
Sans le nommer il introduit la notion de toxicocinétique en mettant en évidence le cycle de la métabolite p,p’DDE dans une étude prospective basé sur le classement de bioindicateurs à partir d’échantillons pris 17 ans avant la confirmation de l’apparition de la pathologie, dans ce cas du cancer du sein.