La réglementation a évoluée sur la base de constat sanitaire de plus en plus grave (en raison du délai d’apparition des maladies) suite à des expositions de plus en plus spécifiques, tout d’abord des expositions massives (nuages d’amiantes) jusqu’à des expositions très minimes (0,5 fibres/millilitre). A aucun moment le principe de précaution n’a réellement été mis en application. Ce qui serait remarquable, c’est que les pouvoirs publiques suivent les recommandations de l’AFSSET sans que celle-ci n’ait pu démontrer la dangerosité des fibres courtes mais seulement conclure à l’impossibilité d’une absence de risques ».
Ce qui est également remarquable, c’est l’auto-congratulation et l’auto-satisfaction des personnes représentantes des pouvoirs publics (i.e.Martine Aubry) alors que la gestion du problème de l’amiante n’a jamais été fait en application du principe de précaution malgré les alertes en Grande-Bretagne et aux USA des décennies auparavant.