l’argument type cité dans ce texte est : les résultats épiidémiologiques disponibles ne soutiennent pas une association entre l’exposition au chlorure de vinyle et le cancer humain, exepté pour l’angiosarcoome du foie. Le facteur trois d’incertitude introduit par l’EPA pour tenir compte d’une possible induction tumorale en d’autres sites est mal avisé et peut donc être éliminé.