A mon avis, je dirais qu’une étude qui s’intéresse à une telle comparaison tend aussi à montrer la part héréditaire et environnementale sur la survenue (voir l’amplification car le parent étant déjà atteint et à condition que l’affection porte préjudice a l’ADN) du type de cancer ciblé.
Si un des parent étant déjà atteint d’un cancer, pour les vrais jumeaux, ils auront un facteur de 0,5 de ce cancer (faux jumeaux de 0,25) que devrait prendre en compte l’étude comme sensibilisation. A cela, on rajoute le risque de survenu de ce cancer de la part héréditaire des parents ; le reste sera attribué à l’environnement.
Il me semble que la question fait référence comme si on nous demande de faire une deuxième étape de l’étude des jumeaux tout en connaissant par avance l’hérédité des parents.