Question sur : critiques « externes » de l’internalisation des effets externes via la fixation de normes : mode d’élaboration et caractère non incitatif Question sur : critiques « externes » de l’internalisation des effets externes via la fixation de normes : mode d’élaboration et caractère non incitatif En réponse à :

Sujet : critiques « externes » de l’internalisation des effets externes via la fixation de normes : mode d’élaboration et caractère non incitatif

R�pondu le dimanche 1er janvier 2012 par Laurent Dalmas

Je n’irai pas aussi loin, mais nous savons bien que les groupes industriels savent se constituer en lobby représentant leurs intérêts pour la branche entière et ce afin justement de faire pression sur les instances pour qu’au pire, elles adoucissent leurs projets de régulation en matière environnementale, et qu’au mieux elles négocient dès le départ avec de tels syndicats ou de telles associations pour adapter leurs velléités régulatrices aux desiderata des membres de celles-ci. Les exemples ne manquent pas, en France, dans l’Union européenne ou dans le monde entier : secteur automobile - français notamment et quant à l’équipement des véhicules à moteur diesel, filière nucléaire, secteur producteurs de produits phytosanitaires, secteur agricole, etc.)


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