Il s’agit fondamentalement d’un effet de perturbation hormonale par les interactions entre le complexe 2,3,7,8-TCDD/AhR et les récepteurs nucléaires, ainsi que par l’induction d’enzymes de classe I, dont l’expression va modifier la production et le métabolisme des hormones stéroïdes. Le cas de l’aromatase, impliquée dans la synthèse des œstrogènes (CYP1A) est un bon exemple.